La condition de dépendeur est une personnification qui s’appuie trop sur les autres personnes pour son propre bien-être, sa grande liberté de mouvement et sa reconnaissance de confiance partagée. Cette attitude toxicomaniaque peut se traduire par de nombreuses manières, comme le fait de miser sur un groupe de personnages pour l’amélioration des relations, sur la vie sociale, sur la mise en œuvre de grandes décisions, sur l’établissement et le bon fonctionnement d’un certain bilan, etc. Les dépendances sont souvent le fait de mauvaises rencontrent antérieures, du « besoin de se sentir en bonne mains » ou de la dérive de la technologie.

Le plus fréquent, le développent des addictions est le résultat de malencontreuses rencontres antérieurement, d’un constat de manque et d’un désarroi sentimental. Par contre, la « dépendance aux autres » a un impact négatif sur notre existence ou sur les relations que nous vivons, notamment en limitant les possibilités d’action et en posant des exigences irréelles à la personne visée. La dépression peut prévenir toute amélioration de soi et la gestion de ses problèmes sans aide extérieure. Par conséquent, le décrochage de sa dépendance peut conduire à un accroissement du contrôle sur sa vie, sa qualification et ses différentes ressources.

En ce dont concerne la carence affective, il s’agit d’un manque modéré qui peut avoir des conséquences néfastes sur la qualité de vie dans un cycle de vie et pour les intéressés. La carence affective se traduit par un « besoin irrépressible » de percevoir des attentions et la satisfaction de la tierce personnalité, tant et si bien que la demande de dignité et de garantie de sa personne est largement rattachée à ce même comportement.

La défection peut être activée par un vieux phénomène de prise en charge de sentiments non résolus, un problème de valorisation de soi, des expectatives irréelles dans un cadre d’ordre relationnel, et par un désir désespéré d’être écoulé et accepté. Une telle prise de conscience a notamment pour résultat un désir de précarité, une faible valeur de soi et des sensations de mise en danger, ainsi que la possibilité d’avoir du mal à sélectionner et à valoriser son existence par rapport à sa vie professionnelle.

Pour se libérer de la hiérarchie de dominance, il est donc primordial de faire un véritable travail sur soi pour fortifier l’image que nous en avons. Il peut être utile de rechercher la vérité, de chercher à être compris, d’identifier ses « passions » et de nouer avec d’autres personnes les relations les plus saines et les plus soutenantes. Il est par ailleurs essentiel de maîtriser les anciennes douleurs physiques et de savoir reconnaître les dangers de la spirale de la dépendance psychologique.

En faisant preuve de volonté et de réflexion, il sera possible de lutter contre une dépendance au plan psychologique et de retourner à une vie totalement épanouie et agréablement vécue.

Options pour se décharger de la domination par les autres : idées à appliquer : les méthodes :

Afin de se déconnecter de l’emprise que peut avoir une certaine personne sur vous, nous vous proposons quelques types de méthodes qui pourront toutes vous servir :

Admettez votre « problématique de dépendance » : La toute premiere chose qui permettra de se libérer de toute dette sera de se dévoiler et de dire que vous entretiendrez telle ou telle forme de relation fiduciaire avec unetelle personne et que ladite relationship peut avoir un impact très fort sur vous et votre environnement.
Fixez des délais de tolérations : Il est crucial de déterminer et de faire valoir des  » critéres sains  » pour la liaison si vous ne tenez pas à tomber dans la déprime.
Savez comment développer vos capacités à vous montrer convaincant : L’imposture est le résultat de la consommation de substances et d’arguments. En gérant ces aspects, vous pouvez retrouver de la force de caractère et êtes moins susceptible d’être entraîné dans vos problèmes de dépendance.
Recherchez du soutien : S’adresser à un proche en particulier ou à un autre spécialistes peut vous inciter à relativiser le conflit et à trouver un moyen de le résoudre.
Avez-vous un état d’esprit de liberté ? Vous vous posez la question de votre « activité » et de vos espaces de passion à reconstruire indépendamment de la  » dépendance  » de la personne en question et, d’abord, de savoir se reposer sur vous-même en vue du bien et de la mise en œuvre de vos propres objectifs.
Nouer de bonnes relations : Il peut s’avérer toutefois pertinent de mettre en avant les valeurs positives de ses relations et de se constituer un carnet social très enrichissant.
Faire preuve de détermination : Se détacher de ses asservissements peut être plutôt long et demander du recul ainsi qu’une certaine perspicacité. Il est donc indispensable de considérer que le process est long et qu’il est de ce fait normal de se trouver devant un certain nombre des contraintes en cours.

Il est aussi primordial de sachez que chaque personne d’entre nous est Unique et que les processus de la rupture avec une addiction peut être en fonction des circonstance de la vie du quotidien. Ainsi, il peut être intéressant de recourir à l’aide d’un spécialiste pour trouver les conseils dont nous avons toutes les raisons d’avoir besoin.